Vampires
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Taps
Les Princes du Nord

Dans les sables infinis de Terra, là où le soleil griffe le ciel d'une chaleur implacable, existe un royaume silencieux et mystérieux : la Terrasylvanie. Telles des fourmis noires traversant le désert, les vampires des Princes du Nord construisent leur empire dans l'ombre des dunes, érigeant Altaïr, une cité altière et sombre, symbole de leur puissance.
Comme les fourmis, les vampires de Terrasylvanie forment des sociétés complexes, structurées autour de leur Voïvode, Kaevann, le maître des ténèbres. Leur hiérarchie rappelle celle des fourmilières, avec des princes, des guerriers et des ouvriers, chacun jouant son rôle pour assurer la prospérité du clan. Les ruelles d'Altaïr s'étendent comme un réseau de tunnels, dissimulant des secrets et des intrigues dignes d'une fourmilière bien organisée.
Pourtant, à la manière des fourmis, ces créatures nocturnes sont guidées par un sens de la communauté profond. Elles partagent un lien indéfectible avec leur terre aride, Terra, façonnée par les dieux Taps, Libra, Valdania, Yourick, et Solweig. La pyramide blanche, point de réincarnation, est le cœur pulsant de cette relation, rappelant le nid central d'une fourmilière, où les reines élaborent les destins de leur peuple.
Mais l'analogie s'arrête là, car les vampires d'Altaïr possèdent des ambitions et des passions qui transcendent celles des insectes. Ils sont des prédateurs, façonnant le destin de Terra à leur image, tout comme les fourmis marquent de leur empreinte les terres qu'elles parcourent. Entre les dunes, sous les étoiles sanglantes, Altaïr se tient fière, un phare des ténèbres, guidant les vampires vers une domination incontestée.
Ainsi, dans le désert infini de Terra, la Terrasylvanie et Altaïr se dressent telles des fourmilières légendaires, orchestrant leurs destinées à la lueur des étoiles sanguines.
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Les Princes du Nord

Le Voïvode, souverain des Princes du Nord à Altaïr, se distingue par une personnalité aussi sombre que ses desseins. Parmi ses nombreux défauts, la paranoïa règne en maître, obscurcissant son jugement et le poussant à voir des conspirations là où il n'y a que l'ombre de ses propres doutes.
Son impatience est une lame acérée qui tranche toute tentative de lenteur ou de délibération. Les secondes qui s'égrènent dans l'attente d'une décision lui semblent des éternités insupportables, et sa fébrilité se propage telle une épidémie parmi ses sujets.
Capricieux, tel un orage qui se forme sans avertissement, le Voïvode peut changer d'humeur en un battement de cœur. Ses désirs deviennent des ordres immuables, et ceux qui osent s'y opposer se retrouvent pris dans les méandres de sa colère.
Arrogant, il contemple le monde depuis son piédestal de noblesse vampirique, regardant avec dédain ceux qu'il considère comme inférieurs. Son attitude condescendante se mêle à une certitude absolue en sa propre grandeur, formant une aura de suffisance qui l'entoure comme une cape ténébreuse.
Ainsi, le Voïvode règne avec une main de fer empreinte de ces défauts, utilisant sa paranoïa pour prévenir toute dissidence, son impatience pour forger un empire rapide et sans pitié, son caprice pour modeler les événements selon ses désirs, et son arrogance pour asseoir sa suprématie au sein d'Altaïr et au-delà. Dans cette danse macabre, ses défauts deviennent des armes, façonnant un dirigeant aussi redoutable que détestable.
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