Une lettre ouverte et pleine d'affection à ces gentilhommes remarquables
À ces sages, ces savants, ces grands esprits du quotidien qui nous impressionnent chaque jour par leurs traits d'esprits et leurs bons mots.
Et qui, quand ils soumettent un texte à un concours d'écriture sur un jeu par navigateur, se sentent l'âme d'un Pinochet et décident de voter chaque jour pour eux même.
Sincères, chaleureuses, presque jalouses félicitations.
Non seulement vous êtes indignes de Aura, qui se crève la paillasse pour son animation, mais vous êtes indignes de chaque homme et chaque femme qui a un jour porté un crayon, un stylo ou un porte plume, de chaque sumérien, mésopotamien ou égyptien qui s'est emmerdé à inventer les premiers idéogrammes pour que vous puissiez, ensuite, si mal vous en servir.
Tristes sirs, funestes dames, beurk
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