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Cela faisait des lunes qu'Ortanko sillonais le désert à la recherche d'une proie. Il tremblottais, grelottais malgrés la chaleur persistante. Que lui arrivait-il? Il sentait un vide en lui que nuls breuvages et nulles pitances ne pouvaient refrener. Il parcourrait depuis des lunes un sentier dans le désert, ou celui-ci allait le mener il n'en savais guère mais il le suivait, des Oasis apparaissaient de temps à autre lui permettaient de survivre .
C'est en cette matinée avec un soleil rougeatre qu'Ortanko trouva enfin un adversaivre, son pouls ralenti, il sorti sa dague et son épée et s'approcha en silence. Sa cible était allongée, le dos tournée, Ortanko saisi sa chance et se jeta sur lui. Qu'elle ne fut pas sa surprise de se débarasser en seulement 3 escocades de son adversaire.
Ortanko le regarda agonisant sur le sol et décida de lui vider les poches:
"Boarf un peu d'eau c'est tout, qui peux tu être pour te promener dans le désert sans nourritures, sans eau, sans bois n'y pierres" se demanda t'il en regardant cet être fragile à ces pieds.
Se rappelant soudainement son mal être persistant Ortanko planta ces crocs dans la nuque de son adversaire et bû son sang. Tel une drogue, Ortanko senti le souffle abandonner sa cible et senti son coeur s'arreter de battre. Tel un miracle Ortanko retrouva une vigueur et une santée exeptionnelement bonne.
C'était donc cela, une vie de rapine, de sang, de meurtre avait rendu Ortanko dépendant à la mort. Qu'elle soit sienne ou d'autrui seulle la mort devrait pouvoir guerrir ces maux.
Ortanko laissa le cadavre gisant sur le sol sans alla et héla son messager.
"Messager! Je te donne pour mission de trouver le nom de se frêle personnage et à son réveil tu lui remettra une missive de ma part, je ne le connai pas, n'avait jamais eu l'honneur de le tuer je te laisse donc le soin de m'introduire"
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Alors qu'Ortanko continuait tranquillement sa route voir si des proies étaient venues sauver sa victime, qu'elle ne fût pas sa surprise de voir celle-ci, debout, en moyenne forme, les plaies pansées et essuyant ses guenilles.
"Aurais-je l'outrecuidance de le tuer deux fois en une journée sournoisement?" se demanda Ortanko amusé.
Comme à l'aube il se concentra, sorti ses lames encore gorgées du sang de l'inconnu et frappa.
"Morbleu quel est donc ce personnage qui n'oppose aucunes résistances? Celui-ci ferait un bien piêtre pirate. Dit il aprés lui avoir mis une seule estocade fatale. Ortanko pouffa de rire dans le silence du désert et essuya ces lames sur le défunt.
"Bon au moins mon messager saura ou le trouver maintenant, la pyramide me semble t'il sera sa prochaine destination."
Ortanko s'essuya les pied sur le cadavre, planta ses crocs dans le cou de son adversaire et ressenti ce bonheur et cette alégresse qui lui faisait défaut depuis ces quelques jours d'errence. Ortanko s'en alla joyeux en chantonnant.
"Ce petit chemin qui sent la noisette…
Me rappelle soudain ce grand jour de fête,
Où plusieurs gredins me prenaient la tête,
Mais comme je suis bourrin,Je leur pète la tête,
Je prends tous leurs biens, leur or et leurs guêtres,
Ah c’est tellement bien, de piller ces bêtes !
Je n’oublierai point cette chansonnette
Du petit chemin qui sent la noisette… !"
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HRP: Vous pourrez relever, si vous connaissez, une allusions aux "reflets d'acides" dans chacuns des RP ci-dessus.
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Ortanko se réveilla en pleine nuit attiré par une odeur de sueur lointaine, il se deplaça lentement et dans le noir de la nuit afin de trouver son origine.
A quelques mètres de lui se trouvait une jeune femme faisant ces armes dans le désert.
"Elle s'entraine à cette heure ci? Elle doit être puissante, aurais-je enfin droit à un peu de défi ?"
Sortant dague et épée Ortanko se rua sur sa cible bien réveillée ce coup ci. Les trois premières estocades touchèrent la cible, elle réussit à esquiver la quatrième et blessa légèrement Ortanko. Celui-ci agacé acheva son adversaire et fouilla ces poches.
"Ah! Cette femme sais comment contenter les hommes dis donc, voilà un butin fort intéressant. La dame m'a légèrement résisté quel courage"
Toujours assoifé de sang Ortanko planta ces dents dans le cou de sa victime et reparti fièrement.
"Ces dernières semaines épuisantes sont derrière moi! Enfin un peu d'action, cela me rappelle de bon souvenirs"
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