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Journal personnel de Éfiossa
Ceci est ton sujet personnel qui t'est exclusivement réservé. Chaque message posté ici comptera dans les RP postés pour l'animation, et te rapportera donc des points.
SUJET OUVERT UNIQUEMENT À ÉFIOSSA

Éfiossa était de retour à la maison depuis peu de temps, prenant un moment de repos après un long périple dans le désert. À la recherche d'écrits et d'histoires, il ne comptait plus les kilomètres de sable qu'il avait foulé. Heureusement les fouilles avaient été bonne et il ne revenait pas les mains vides. La première nuit dans le confort de sa maison fut bienfaitrice mais plus les jours avançaient et plus une certaine perturbation le dérangeait. Le jour, il jouait des doigts sur le vestige d'Aphistème qui ornait sa table de nuit, une sensation de chaleur quasi brûlante l'animait chaque fois, un intense contraste avec la froideur de son corps de vampire. Tel était le choix qu'il avait fait de tourner sa dévotion vers ce nouveau Dieu, et pourtant ses songes semblaient l'appeler vers Taps mais il ne comprenait pas pourquoi.
L'image dans sa tête devenait nette, le temple de Taps l'appelait. Le vampire se rendit dans la capitale de l'Oasis pour y obtenir la position exacte de l'endroit. Après avoir pris un peu de réserve, il prit le grand chemin pour économiser ses forces et parcourir le plus de distance possible chaque jour. Le désert n'était plus aussi paisible alors que de plus en plus de squelettes y rôdait de façon très agressive. Rester à quelques lieux de l'un d'eux ne pouvait que les attirer vers soi, provocant des réveils brutal au coeur de la nuit. Il avait eu beau faire attention, Éfiossa avec eu cette vilaine surprise, s'y prenant quelques coups au passage auquel il avait su riposter. S'en tirant avec très peu de traces de cet affront.
Cinq jours de marche auront été suffisant pour atteindre sa destination, Éfiossa entra sans attendre dans le temple dédié à Taps pour y prier longuement. Dans l'espoir et l'attente d'une réponse à ses songes, savoir pourquoi il avait ressenti cet appel. Constatant bien qu'il n'était pas le seul, à en juger le nombre de fidèles présent, ce ne pouvait être coincidence....
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