
Il regarda cette planète, il repensa à toutes ces constructions de barricades, portes et autres... franchement longues, penibles et interminables. Il revit l'attaque, une attaque éclair un tour 2 barricades détruites et la ville à la merci des assaillants. Tous ces efforts qui n'auront servi à ralentir les attaquants que de façon négligeable. Il se prit alors à regarder dans ses poches "ouf, mes pièces d'or ne m'ont pas accompagné dans ce monde, encore une chance!"
Et d'un seul coup, le monde, ce monde eu l'air d'arrêter de tourner, plus de vent, plus d'ennemi, plus de nouvelle branche...
Il fut pris alors d'une rage infinie, il leva sa hache, lui fit parcourir une rotation complete et la planta dans un rocher qui se trouvait là. Sur l'impact la hache créa une fissure, une faille de plus, donnant un défaut de plus à ce monde plus qu'imparfait.
Druss le point serré et levé hurla alors: "LIBRA! LIBRA! LIBRA!".
La déesse entendit l'appel, et apparut alors dans une fumée noire étincelante devant le bucheron.
Druss lui expliqua en gardant tant bien que mal son calme les déséquilibres de ce monde et l'ennui mortel qui touche les quelques vivants peuplant cette contrée. Vivants réduits à se faire la guerre et à se réanimer en boucle pour animer leur existence et éviter de sombrer dans la folie.
Les constructions qui ne servent à rien mis à part protéger la capitale. Cette capitale, où il est toujours complexe de ranger et trouver de la place pour pouvoir stocker des ressources, qui en fait elles-memes ne servent à rien.
Il implora alors la grande déesse de le désintégrer et de le renvoyer sur une terre plus hospitalière.
Alors, tel le grand saint nicolas, Libra leva 3 doigts et Druss disparut ne laissant derrière lui rien d'autre que sa hache, amoindrissant un peu plus le pouvoir des dieux eux-mêmes, LIBRA en ressentit les effets immédiatement.
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mon drussssssssssss notre bucheron a nous reviens j'vais moi aussi soliciter libra j'vais pas me gêner